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Cel_in_run
2 novembre 2021

Ecotrail de Paris 80km

Avant de commencer le récit de cette course, il est important pour moi de retracer ce qu’il s’est passé depuis mon dernier compte rendu, le Grand Trail de Sancy Mont-Dore en 2019 (dont vous trouverez le lien ci-dessous).

Le Grand Trail de Sancy Mont-Dore - Cel_in_run

Pour le dernier objectif de l'année 2019, il me fallait trouver un objectif intermédiaire. Le Grand Trail de Sancy Mont-Dore, en Auvergne, organisé le week-end du 22 septembre était la course idéale. Je connaissais cette course par les réseaux sociaux, la grande distance de 60km et de 3300 D+ me semblait parfaite au niveau ratio kilomètre/dénivelé positif.

http://celinrun.canalblog.com


Octobre 2019 :


Je suis toujours en prépa depuis le mois d'Avril, pour l’un des mes objectifs de l’année, histoire de clôturer 2019 en beauté !!
Je dois donc participer à la Lyonsaintelyon le 30 Novembre, oui oui l’aller-retour, comme si la Saintelyon ne me suffisait pas !!! Un dossard pris en début d’année sur un coup de folie, comme je sais si bien le faire !!

L’échéance approchant, la fatigue accumulée des dernières semaines, mon mécontentement face à la gestion de mes dernières courses officielles, des soucis personnels me remplissent de doutes et d’interrogations sur la course à venir.

Malheureusement les choses ne se sont pas du tout passées comme prévu, une chute à l’entraînement 3 semaines avant la course me contraint d’abandonner l’idée de prendre le départ.
Une douleur persistante à la jambe droite m’empêche de courir confortablement le moindre km, alors comment espérer en faire 152 !!
Personne n’arrive à expliquer mon problème malgré les avis médicaux demandés (médecin généraliste, médecin du sport, orthopédistes, ostéopathe, kiné), une radio du bassin, de la jambe, une irm du genou, aucune réponse ne m’est apportée.

Moi même je n’identifie pas ce qu’il m’arrive, une douleur qui va et vient, présente la nuit, gênante à la marche ou non et qui change d’endroit, un coup l’ischio, le quadri, le psoas, la hanche, l’extérieur du genou, le mollet,… cela en devenait déroutant.
Tant bien que certains médecins ont fini par me dire que c’était peut être dans ma tête et m’incitaient à courir pour voir, mais c’était l’échec à chaque tentative et mon moral qui s’effondrait un peu plus par la même occasion.


Janvier 2020 :


2 mois se sont écoulés sans aucune évolution favorable, je finis même par me demander si un jour il me sera possible de rechausser les baskets, sans appréhension et surtout sans douleur.
Début Décembre 2019, une connaissance des réseaux (Cynthia, je t’embrasse si tu passes par là) me conseille de prendre rdv à l’INSEP de Paris, je ne suis pas complètement convaincue mais je finis par me lancer. J’ai hâte d’y aller et en même temps, je me prépare à n’avoir encore aucun diagnostic.
6 Janvier 2020, ca y est, c'est le grand jour, j'appréhende beaucoup, je rencontre une femme médecin, elle semble avoir tout juste 30 ans et est spécialisée dans la médecine sportive. Le rdv commence donc par un long interrogatoire avant de passer à l'auscultation avec de multiples manipulations, elle semble intriguée et ne comprend pas trop la raison de mon problème mais elle lâche pas l’affaire et cherche, je l’aime bien elle !!!

Elle me prescrit une irm de la cuisse pour tenter d’orienter le diagnostic, par chance, un créneau est libre sur place dans l’heure et vient enfin ma délivrance…

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Madame, vous avez une fissure osseuse du fémur sur 4cm.


Hein ?!!! Je n’en revenais pas, je n’étais pas folle, enfin pas cette fois !!!

Elle m'explique que j'aurais dû être béquillée et n'avoir aucun appui sur cette jambe durant ces 2 derniers mois mais maintenant c'est trop tard. Dorénavant pour les 2 prochains mois, repos, patience et marcher le moins possible puis tout ira bien. Etant infirmière, le marcher le moins possible est impossible !! elle ne m'arrête pas, je m’affole pas et je vais gérer comme je l’ai fais depuis la chute.

Avant de quitter son bureau, elle m’informe également par la même occasion que je n’ai pas la carrure pour courir le volume hebdo et distances comme j’ai pu le faire avant ma blessure. 

Finalement je l’aime plus trop elle !!!

Me voilà revigorer, prête à attendre le temps nécessaire pour ma guérison et à reprendre là où je m’étais arrêtée, encore plus lorsque des personnes remettent en doute mes possibles aptitudes ou plutôt sont certaines de mon inaptitude. Cela me donne encore plus la rage de leur montrer qu'ils ont tort, mais les choses ne se sont pas du tout passées comme prévu…


Au décours d’un bilan sanguin prescrit par l'INSEP, pour déterminer si j’ai des carences, un taux bas de vitamine D me pousse à questionner un collègue urologue pour connaître la dose à prendre pour me supplémenter, sans risquer de dommage pour le rein qu’il me reste. J’ai subi l’ablation du rein gauche en 2010 pour un kyste hydatique (saleté de parasite dont je ne connais pas l’origine), aucun suivi nécessaire d’après le chirurgien de l’époque !!!
L’urologue a qui je demande conseil, me questionne sur mon passif et mes antécédents, il me prescrit un scanner abdominal car il est étonnée que je n'ai pas de suivi depuis mon opération, mais il ne me donne aucune information quant au dosage de vitamine D à prendre !
Je suis contrariée, je ne lui ai pas demandé une ordonnance pour un examen et me voilà à devoir passer ce foutu scanner. J’appréhende, les souvenirs douloureux de 2010 refont surface, moi qui pensait cet épisode loin derrière moi.
Je prends tout de même rdv et 15 jours plus tard le verdict tombe, je découvre que monsieur le parasite semble n’avoir jamais quitté mon corps en restant logé exactement au même endroit mais avec le rein en moins.
Le sol se dérobe sous mes pieds, je suis abasourdie, l'histoire se répète à nouveau 10ans après, le chirurgien de l'époque avait donc tort, j'aurais dû avoir un suivi régulier, je regrette de lui avoir fait une confiance aveugle !!
Je dois tout recommencer à zéro, des examens complémentaires pour rechercher si le parasite n'a pas migré ailleurs, plusieurs prises de sang, des rdv avec des spécialistes. Cette fois, on m’aiguille vers un suivi parasitaire au très long cours, avec un traitement oral spécifique à prendre pendant quasi 1 an, mais en plus du traitement, la case opération m’est imposée après multiples réunions de concertation pluridisciplinaire.

Je dois repasser sur le billard, je suis dégoutée !! 

Le chirurgien auprès de qui mon dossier a été transmis, décide de se faire aider d’un spécialiste car mon affaire semble un peu complexe.
Le kyste mesure 8cm de diamètre (ça va c'est pas énorme, en 2010 il faisait plus du double) et semble adhérer au psoas, au pancréas, le duodénum et à l’aorte, rien que ça !!! Chaque médecin que je croise à mon boulot, sont un peu alarmiste puis se ravise en disant que tout va bien se passer.
Sympa de bosser dans un bloc opératoire !! Tout le monde y va de son avis personnel, de sa propre expérience et leurs histoires ne se terminent pas forcément bien…

La crise sanitaire de 2020 repousse mon intervention car en plus de ne pas être prioritaire, je dois passer un bilan allergologique (rien n’est simple chez moi !). Sauf qu'avec le Covid, tout les créneaux sont fermés, j'ai finalement pu avoir un rdv à l'hôpital Tenon après moult négociations de ma chir.

Mon opération a lieu le 26 mai, le post opératoire a été rude, difficile et très douloureux, j’ai même l’impression que c’était pire que dans mes souvenirs de 2010.
Les tâches de la vie quotidienne deviennent très compliquées à réaliser, comme par exemple se lever, se laver, se coiffer, tenir à table pour un repas, jouer avec les enfants. Ma mission chaque jour était l'accomplissement de petits gestes si anodins.

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Je détestais ma cicatrice de 2010 (photo du haut), mais finalement je relativise, elle est bien plus moche depuis la 2ème opération (photo du bas).

L'ancienne était plutôt discrète tout compte fait, c'est dommage que je ne l'avais jamais accepté.

Pourtant la chir a essayé de l’améliorer mais malheureusement je ne dois pas avoir une bonne cicatrisation.

 

 

 

Mi Juillet 2020 :


2 mois passent et arrive le moment où j’ai l’autorisation de reprendre le sport très progressivement.
J’ai méga peur !!!
Je suis le plan d’entraînement de reprise post blessure de la Clinique Du Coureur pour m’obliger à ne pas brûler les étapes, je rallonge même le plan de 4 semaines pour me freiner et éviter trop tôt de reprendre trop vite.
A cela je m’oblige à me mettre au renforcement musculaire, activité jusque là complètement négligée. Vu la localisation de la cicatrice, je commence en douceur avec le plan post partum sur 12 semaines de Sonia Tlev, puis j’enchaîne sur le TBC1 et TBC2 que je suis plus ou moins avec assiduité.
Cela me convient bien car la reprise est loin d’être simple avec une sangle abdominale qui semble avoir disparu dans une autre galaxie (à ce jour Novembre 2021, j’ai lancé un avis de recherche pour tenter de la retrouver !!) et des résidus douloureux de ma fissure osseuse du fémur qui a créé des adhérences musculaires.
De nombreux mois chez le kiné m’ont été nécessaire pour récupérer mes facultés et amplitudes musculaires de ma jambe droite.

Ça y est on y vient !!!

ECOTRAIL DE PARIS.


Je me fixe l’Ecotrail de Paris le 3 Juillet 2021 comme objectif de reprise, course reportée à cause de la crise sanitaire, mon dossard 2020 (acheté pendant l’été 2019) est donc toujours d’actualité.
Cela me semble énorme de tenter un 80km mais j’ai 8 mois pour me préparer et j’y vais sans pression, si je suis pas en capacité de finir, j’arrête.
Je prends en cours de route le plan Ecotrail de Paris, de Pace trail Expérience et l’échéance approche très, trop vite à mon goût, je me sens pas prête, j’ai peur mais je ne reculerais pas.
Je suis déçue d’apprendre que l’arrivée ne se fera pas au 1er étage de la Tour Eiffel et qu’il n’y aura pas de tee shirt finisher mais bon tant pis, l’objectif de prendre ce départ est avant tout de tester mes capacités.
Je reçois mon dossard par courrier, et je réalise que mon départ est à 12h15 alors que j’avais demandé le 1er départ à 10h15. Je comprends pas ce qu’il s’est passé et d’où vient l'erreur, cela me met un coup de stress car modifie l'organisation du retour, j'en dors pas la nuit suivante. Heureusement un échange par mail avec l’organisation et mon heure de départ est modifié, ouf !!!
La pression monte les jours qui précèdent la course, cela ne change pas de mes habitudes. Il est prévu de rejoindre le départ en train avec 2 amis malgré quelques péripéties avec eux qui m’ont bien agacé mais passons… D’être accompagnée me retire un peu d’anxiété et m’évite de trop penser à mes doutes et à ce qu’il va se passer.

Avec les 2h de train au programme, je décide de préparer mon petit déjeuner pour l’avaler en chemin et éviter de le prendre trop tôt, pain de mie et beurre de cacahuète au menu. Le petit hic, j’ai oublié de penser à mon besoin nécessaire d’être au calme pour mon petit passage aux toilettes afin de libérer mon transit intestinal, je fais un arrêt wc à la gare d'arrivée mais rien ne se passe, j’en fais pas tout un fromage, tant pis.

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Tout va tellement vite ensuite, se mettre en tenue, dépôt du sac à la consigne, les pipis de la peur d’avant le coup d’envoi, les photos et selfies avec les copains.

C'est déjà l'heure de rentrer dans le sas de départ, le temps est idéal, plutôt nuageux, pas chaud mais pas froid non plus. Il y a du monde, on partira finalement 5 minutes plus tard dans la 2ème vague.

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10

9

8… Putain j’y suis !!! J’ai du mal à réaliser que je sois là.


7

6

5

4... Je suis tellement heureuse, je mesure ma chance d’être sur le point de vivre à nouveau ma passion, de tout simplement être en vie et en bonne santé. Je repense à tout ces derniers mois compliqués et le mot d’ordre du jour, avancer coûte que coûte.


3

2

1... Goooooooooooo. J’ai la banane, ça se voit pas car je porte un masque chirurgical mais j’ai un sourire niais, c'est parti mon kiki !!!

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Les 1ers kilomètres passent rapidement à bonne allure, peut être un peu plus rapide que prévu (en même temps j’avais pas prévu d’allure cible) mais nous sommes dans la base de loisirs de Saint Quentin en Yvelines avec aucune difficulté, on papote avec les copains, suffit juste de dérouler et de profiter.

 

 

 

 

 

 

 

Au bout de 10km, je finis par distancer mes camarades avec l'envie d’avancer un peu seule. Je pointe au 1er ravito au Château de Haut-Buc au 24eme km (227m d+) en 2h27. Je grignote un peu, fais le plein d’eau, je ne m’attarde pas et repars en marchant, je sens que mon ventre me titille un peu, mais c'est très léger.

Je lis quelques messages d’encouragement reçus sur mon téléphone, cela me fait tellement plaisir.

Je check la montre et je suis surprise de l’allure (9,7km/h), je me sentais bien mais je me dis que je vais peut être le payer.
Ça n’a pas loupé, 1km plus loin, les crampes intestinales apparaissent et s’intensifient au fil des km, le parcours emprunte des sentiers boisées, j’en profite pour essayer de libérer mon transit mais rien ne vient !!!
Mes amis me doublent sans s’en rendre compte, je reviens à leur hauteur mais pour le coup, je n’arrive pas à tenir leur allure. Mon ventre me fait mal alors je les laisse filer, je m’arrête une nouvelle fois mais sans succès. Les kilomètres ne défilent pas, que c'est long !!

Aux alentours du 40ème kilomètre, une amie du groupe FunkyBeasts me rejoint pour me tenir compagnie et par la même occasion caler sa sortie longue. Je suis contente de la voir et en même temps je redoute d’être un boulet pour elle, avec la crotte au cul qui veut pas sortir, lol.
Ouais je sais, c’est hyper glamour !!!

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Les kilomètres qui suivent sont laborieux, j’ai mal au ventre. Je suis Bénédicte qui m’impose un rythme, me tient la conversation par moment et me fait une petite visite guidée de ses parcours d’entraînement mais que c'est dur, courir me semble si difficile. On prend des photos, on rigole un peu quand même, elle essaie de faire diversion !! Je vois des toilettes publiques, je tente un nouvel arrêt mais quenini.

 

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Au bout de 33 km (700m d+) pour 4h45min d’effort depuis le premier ravito, vient celui du 56ème kilomètre à Chaville, c’est le moment où Bénédicte arrête de m’accompagner au risque de trop s’éloigner de chez elle. Je la remercie de sa présence à mes côtés, de m’avoir supporté et je m’excuse de ne pas avoir été au top pour partager ce run comme il se doit.

 

 

Je vois mes amis qui attendent quelqu'un, je raconte mes problèmes de caca et eux me racontent être en pleine forme.

Je fais le plein d’eau, je regarde ce qui pourrait me faire plaisir à grignoter, je vois de la pastèque, trop bon ça !! J’avais adoré en déguster lors du Grand Trail du Sancy Mont-Dore en 2019, alors je prends 2 morceaux et m’installe au sol, au bout de ma vie !!
Je croque une fois, 2 fois et là, je bondis, il faut absolument que j’aille aux toilettes. J’en ai vu juste avant l’entrée, je demande au signaleur si je peux sortir du ravito pour aller aux wc et les 5min qui suivent sont censurées ici pour votre bien-être mental mais je peux juste vous dire que c’était du pur bonheur !!!

Me voilà enfin libérée d’un poids, je retourne au ravito, je vois mes amis partir, je reprends un morceau de pastèque et je pars aussi. Mon ventre est encore un peu sensible mais ça va beaucoup mieux. Je rejoins mes acolytes au bout de 2km et je papote un peu avec eux, cela me fait plaisir de les retrouver.
60 km de fait, ça y est j’ai enfin la patate, il était temps !!
Par contre mes amis commencent à accuser le coup et à leur tour d’être un peu dans le dur et de diminuer la cadence.

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Je continue finalement seule, déterminée à enfin profiter, je sens que les jambes commencent à fatiguer mais l’arrivée n’est finalement plus si loin.
Les derniers kilomètres sont plat jusqu’à atteindre l’arche, alors je me mets en route tel un métronome, cerveau débranché et je remonte beaucoup de coureurs qui marchent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Tour Eiffel est là, visible et en même temps si loin. Puis c’est les derniers mètres, les enfants sont là, ma fille ne veut pas passer l’arche avec moi (la vilaine !!), mais mon fils me suit, enfin plutôt je le porte et c’est la délivrance.

Je suis finisher en 10h19 de l'Ecotrail de Paris 2021 (78.4km et 1300m d+ à ma montre). Je l'ai fais !!!

Classement au scratch : 377 sur 893 finisher.

Scratch féminin : 27 / 76. Catégorie M1 : 4 / 17  

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Les heures qui suivent la fin de la course ont été compliquées, avec le retour des crampes intestinales et un léger malaise vagal, il est temps de rentrer à la maison pour me remettre de tout ça.

Je suis plutôt contente de ma course et de la gestion de l'imprévu monsieur caca, même si j’aurais préféré ne pas subir autant du 25 au 56ème km, ni après la course d'ailleurs.

Avec du recul, je pense que je dois prendre mon petit déjeuner tranquillement à la maison pour avoir le temps de digérer et de passer aux toilettes avant de partir. Pas toujours simple en fonction du trajet et de l’heure de départ. Peut être me préparer un petit en-cas si départ tardif ou fringale. À réfléchir. 

La course suivante, c’est une course en montagne, cela change de la région parisienne !!!
Elle a déjà eu lieu, alors à très vite pour de nouvelles aventures.

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Commentaires
T
Tes récits pleins de fraîcheur et d'humour me manquaient 😜<br /> <br /> <br /> <br /> Bravo pour ce nouveau combat mené contre ton corps, tu es très courageuse et ce que tu as perdu (momentanément) en physique tu vas l'avoir gagné en mental 💪<br /> <br /> <br /> <br /> Encore Bravo à toi
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T
Un beau parcours, dont tu peux être fière, comme en course tu n'abandonnes pas et tu as su persévérer même quand il fallait reprendre de zéro.<br /> <br /> J'admire vraiment ton état d'esprit et cette volonté d'aller de l'avant malgré tous les bâtons que la vie et certaines personnes peuvent te mettre dans les roues.<br /> <br /> Pour moi c'est ça être une championne, rien à voir avec un chrono.<br /> <br /> Hâte de lire la suite de ton année et de te suivre sur ton objectif !
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  • Maman 41 ans, 2 enfants (1ère née en juin 2013, le 2ème né en mars 2017). Runaddict depuis 2014 et trailaddict depuis 2015. Je partage ma passion de la course à pied ry mes expériences en course.
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